Inciter à a création d'une Maison de l'Adolescent en Saône et Loire en application des décisons des Pouvoirs Publics, de la Conférense de la Famille, du Défenseur des Enfants, du Plan de Santé Mentale 2005-2008

dimanche, août 19, 2007

Encouragements du 1er ministre


Franck ROBINE, chef de cabinet de François FILLON, premier ministre à qui nous avons demandé de l'aide pour la création de la MDA 71 nous fait parvenir les encouragements suivants:




Et en été que faisiez-vous?

Bilan sommaire des dernières activités (été 2007).

  1. Rencontre de Robert METRAL, le 8 juin, à la Maison de la Justice et du Droit de Chalon-sur-Saône.R.Metral, ancien directeur d'un établissement pour jeunes en difficultés (pendant 20 ans) en Bourgogne exerce actuellement des fonctions de Délégué du Procureur de la République au T.G.I. de Chalon-sur-Saône.
  2. Rencontre informelle avec une journaliste du Journal de Saône et Loire le 4 juillet
  3. Réponse , le 6 juillet, de Pierre SATET, vice-président de l'Union Nationale de Prévention du Suicide (Pr Michel DEBOUT): "votre longue action dans la prévention du suicide, votre réputation auprès de nombre d'entre nous..nous a fait voter, à l'unanimité votre entrée au sein de notre Conseil d'Administration". Nous remercions, au passage, Thérèse HANNIER, présidente de "PHARE-Enfants-Parents" pour son appui vigilant.
  4. Préparation à SENS, le 9 juillet, chez Magali DUWELZ, de la Conférence-Débat du 21 septembre à l'Hôtel de ville de PARIS
  5. Entretien personnel Magali DUWELZ et Gérard WETZEL avec Xavier DARCOS au 110, rue de Grenelle, le 26 juillet 2007, sur notre vision de la prévention et la nécessité d'actions globales transverses (addictions, jeux dangereux, suicide,comportements ordaliques...). Invitation du Ministre à la conférence-débat du 21/9. Des précisions suivront dans un message prochain.Le lendemain M. Duwelz rencontrait le directeur de l'INPES.
  6. Inscription en juillet, de SYNERGIE 71 dans l'annuaire santé de la DRASS Bourgogne.
  7. Préparation d'une émission sur A2 concernant les idées noires et suicidaires.
  8. Préparation d'une réunion-débat à la demande des communautés de communes de Marcigny et Semur en Brionnais le 10 octobre 2007.Les organisateurs représentent 26 communes rurales. Les thèmes suivants seront abordés:
  • cris de l'adolescence
  • le mal vivre, signe avants-coureurs
  • les limites de la liberté
  • les lois
  • aide aux parents
  • comportements addictifs
  • l'ado à l'école et dans sa commune
  • les ados qui vont bien.

SYNERGIE 71 modérera les débats avec les invités, notamment le Pr Jean-Louis TERRA (CHS des Vinatiers à Lyon), un magistrat, le SDIT, une psychologue psycho-thérapeute.

9.Appui logistique à une jeune personne en charge de la constitution d'un dossier de création d'une Maison de l'Adolescent avec Jeunesse et Sports en Maine et Loire.

10.Réponse favorable de Mme Anne MERLOZ, préfet de Saône et Loire, à l'organisation d'un échange sur l MDA 71 sous la houlette de Mme LAGRASTA, Directrice de la DASS 71.

11.Le Comité scientifique de l'O.N.E.C.R. comprend notamment: Mme BEAU Claude (V-Pte du tribunal pour enfants à la Cour d'Appel de Paris), Mme Saltz MALTERRE (pte du Centre Européen pour la Prévention et les Risques), le Pr Michel GREGORY (Hôpital Robert Debré- INSERM U 675), Magali DUWELZ (SOS Benjamin), Gérard WETZEL (SYNERGIE 71, père de famille)...Maître Gilbert COLLARD en est le parrain.

SYNERGIE avec l'Observatoire National des comportements à risques

  • En juillet 2007 nous avons décidé de joindre nos efforts à ceux de l'association SOS-BENJAMIN-Observatoire Nationale des Comportemnts à Risques (O.N.E.C.R.) créée par Magali DUWELZ.

  • Il nous parait en effet souhaitable de considérer la santé des adolescents , notamment le mal-être, selon une approche globale et transverse. C'est une maladie de la société de tout segmenter, de tout spécialiser.
    L'être humain est complexe, un véritable diagnostic ne peut s'exercer scientifiquement que si les observations sont pluri-disciplinaires. C'est la même logique qui préside à la mise en place des Unités de soins et des Maisons de l'adolescent.

  • La seconde raison est d'ordre prospectif: au-delà de la nécessaire épidémiologie il nous importe -afin d'avancer dans le domaine de la prévention-de mieux étudier les causes de mal-être conduisant à l'auto-destruction des jeunes. Cette étiologie devrait pouvoir s'adjoindre le concours des spécialistes , notamment l'INSERM, les Observatoires Régionaus de la Santé, les réseaux sentinelles et le Comité Scientifique de l'ONECR.

Pour en savoir plus sur l'ONECR et l'association de M.DUWELZ consulter son site: "SOS-BENJAMIN.ORG"